future début du sujet anniv de charles : Charles avait prit son journal et s'était isoler dans un coin pour laisser les femmes préparer le repas, la femme de ménage qu'employait charles venait de quitter les lieux après avoir tout cleané, Juliette et Abigael elles, venaient de s'absenter un instant pour aller faire des courses, passer chez le traiteurs puis le fleuriste afin de refaire la déco de la villa, elles n'allaient peut être pas tarder à rentrer. ils avaient passer la journée, tous ensemble, à faire le gateau ... Charles avait aider à faire quelques petits trucs, mais il était souvent distrait par abigael a qui il allait faire un calin, l'enlacer, de temps en temps, elle lui répondait par des petits bisous furtifs et discret pour ne pas donner l'impression à Juliette de tenir la chandelle ....



Charles et abigael avait donc passer toute la journée ensemble, à se raconter certains détails de leurs passé .... bien sûr Charles, ne disait rien sur ses magouilles, et abigael ne disait rien sur son passé français, le peu de détails qu'elle y racontait été passé sous le prétexte d'un voyage en France.

Dans la matinée, Roméo avait appelé à deux reprises ... une pour demander un piston pour une autorisation préfectorale, Frémont avait donc fait jouer ses relations à la préfecture, et une autre fois d'un bar .... sûrement celui du mistral, pour y annoncer qu'il ramenait quelqu'un le soir .... Charles aurait voulu poser ses conditions, lui dire que c'était ok pour cette nuit, mais .... et puis ça avait raccroché. alors charles et abi avait passer la journée comme ça, à rester l'un contre l'autre sans se préoccupait du temps qui passait, ni même de ce qu'il se passait autour d'eux.

A un moment donné, Ils entendirent la porte d'entrée s'ouvrir, a vrai dire, ils dormaient tout les deux sur le sofas, l'un contre l'autre .... et le bruit les avaient réveillé. C'était Roméo qui rentrait.

Roméo et Francesca avait marché du terminus du Métro jusqu'à la villa, profitant des falaises et de la vue magnifique que le lieu offrait. Roméo avait aidé Francesca à porter ses affaires. Roméo franchit le portail en prenant Francesca par la main pour la rassurer... devant la porte, il tourna la poignet légèrement pour vérifier qu'elle était ouverte, savoir s'il ne fallait pas sortir les clés ... Non la porte était ouverte. Il passa donc le seuil de la porte, toujours en tenant francesca par la main et l'invitant à rentrer.

Viens ! entres ! n'ais pas peur !


Il posa les affaires qu'il portait  sur le seuil du dressing, et accompagna francesca dans la pièce à vivre. Roméo décida donc de détendre l'atmosphère en taquinant déjà un peu sa mère.

C'est Moi , je suis rentré ! Maman, j'espère que tu fais pas des bêtises sinon ça va pas le faire ! Surtout devant une invité de marque !


Quand il aperçut la tête de sa mère encore un peu fatigué par un réveil difficile, et Charles qui était à l'affut, il reprit théâtralement tel un Monsieur loyal

Je vous présente  la plus belle des chanteuses colombiennes ! Francescaaaa !!!

Apprendre que son fils comptait ramener une invitée surprise, avait laissé Abigaël un peu méfiante dans un premier temps. Elle était évidemment heureuse de voir son fils faire des rencontres. A son âge c'était normal, il n'allait pas rester dans sa solitude. Mais Abigaël ne se voyait pas donner son avis sur le fait d'héberger une inconnue à ses yeux. Elle avait beau être la compagne de Charles, elle ne se sentait pas encore complètement chez elle. C'est vrai que par son intermédiaire, Charles se trouvait contraint d'héberger chez lui une personne qu'il ne connaissait pas.

Bref, Abigaël ne jugeait jamais les personnes inconnues aux premiers abords. Elle était quand même enchantée de voir la nouvelle amie de son fils. Elle allait pouvoir, grâce à cette soirée d'anniversaire, faire sa connaissance.

Sa gentillesse avait pris le dessus, elle n'attendit pas longtemps, avant de faire le premier pas, pour aller la saluer. Lui faire la bise était une chose un peu trop précoce pour elle, elle se contenta d'une simple poignée de mains, et proposa gentiment à Francesca de retirer son manteau. Il faisait particulièrement chaud dans la maison de Charles, qui avait subit des modifications au niveau de la décoration. La soirée qui s'annonçait n'avait rien d'une soirée normale, un évènement allait se fêter, et Abigaël remerciait encore énormément Juliette de lui avoir apporté son aide. Mais il y avait eu depuis à peine une demi-heure, un changement de programme. Juliette était tombée malade, et malheureusement, la jeune femme avait dû rentrer chez elle. Elle était maintenant clouée au lit dans l'impossibilité de venir fêter l'anniversaire de son père. Par conséquent, Chris était finalement resté avec elle alors qu'il avait également été convenu que Juliette le présente enfin à son père. Bref, ce n'était que parti remise.

Enchantée, mademoiselle, madame.. Mais comme je ne vois pas d'alliance à votre doigt, je suppose que je dois dire mademoiselle ? Bienvenue chez nous, enfin chez Charles.. Je ne suis pas vraiment chez moi, mais alors comme ça, vous êtes une amie de mon fils ?

Abigaël n'avait pas tellement remarqué que le lien entre Roméo et cette femme, était plus que de l'amitié. Elle sentait néanmoins déjà une grande complicité entre eux, mais Abigaël n'était pas surprise, car son fils était adorable. Il n'y avait d'ailleurs pas plus adorable que lui et ça, elle en était certaine.

Je ne sais pas si Roméo vous a averti, mais ce soir, nous fêtons l'anniversaire de son beau père. Malheureusement, nous avions prévu d'être un peu plus mais la fille de Charles est tombée malade. Elle est repartie chez elle il n'y a pas si longtemps. Son petit ami est resté avec elle. Nous ne le connaissons pas d'ailleurs.

Abigaël n'arrivait déjà plus à remettre un prénom sur cette femme alors que son fils venait d'évoquer le prénom. Elle crut cependant après réflexion, se souvenir mais elle en était pas sûre.

Vous êtes Florencia c'est bien ça ? Excusez-moi, je crois que j'ai déjà oublié le prénom que mon fils a donné, si effectivement, je me suis trompée...
Moi c'est Abigaël et mon compagnon c'est Charles. Mais moi, vous pouvez m'appeler Aby!

Roméo écoutait répondre fracesca ... il se demanda alors si Charles ne connaissait pas des gens qui organisaient ce genre de soirées actuellement. Il avait envi de réaliser le "rëve" de francesca. Il pensa donc à aller se renseigner auprès de Charles à l'occasion. Elle avait emprisonné sa main, et il se rendit compte alors que lui même avait poser sa main sur le ventre de francesca, cette zone est généralement accessible aux proches, pas à des inconnues, la symbolique était donc forte pour roméo, Francesca lui faisait confiance ... mais, le fait d'avoir poser sa main là le gênait intérieurement, pour se retirer du ventre discrètement, il recula un peu sa main afin de pouvoir la retourner et attraper la main de francesca, c'est ainsi que paume contre paume, il prit la parole en parlant avec la main, ce qui faisait donc balancer la main de francesca à son tour.

Ah oui, mais donc tu dormais avec lui pas loin .... personnellement, si mon ex était parti dormir dehors en forêt, toute seule, je me serais pas mal inquiéter pour elle, on doit surement trouver des malades dans les forets. Et pour ton envi de soirée mondaine ... je me renseignerais ... on ira faire un tour une fois, ça pourrait être marrant.

Roméo soudainement, ne savait trop quoi dire... il se tue donc un moment, regardant toujours le visage de francesca, en détournant de temps en temps le regard pour ne pas trop paraître insistant et la gêner et comme pour éviter un long blanc, il changea de conversation.

au fait, si tu veux aller te prendre une douche, ou un bon bain chaud, doit y avoir des serviettes dans l'armoire de la chambre là. pour le lit, je crois qu'on vient de le tremper, donc on va attendre un peu avant de mettre les draps hein ....

La situation le fit rire, oui, le lit était trempé à l'endroit où ils s'étaient allongé, cela ne mettrait surement pas beaucoup de temps pour sécher, mais il était tellement bien avec elle qu'il ne s'en était pas rendu compte plus tôt.

Et pour ce soir ... tu veux faire quoi après manger ?

En bas, la table devait être en place, et les aliments entrain de cuire, même si l'odeur ne se sentait pas encore, les casseroles ne faisaient plus autant de bruit, on entendait plus de bruit de couverts.

Francesca avait prit tout ce qu'il lui fallait et chercha à se remémorer quelle porte elle devait prendre dans le couloir pour accéder à la salle de bain.

- C'est bien la porte en face, légèrement à gauche, que je dois prendre pour me rendre dans la salle de bain ?

Alors que Roméo lui répondit, Francesca ouvrit la porte de la chambre prête à partir et ajouta :

- j'en ai pas pour longtemps, promis !...et puis je t'aiderais pour le lit à mon retour.

Elle se mit à lui sourire une dernière fois, puis pris la direction de la salle de bain.

Une fois à l'intérieure, elle posa ses affaires et la serviette sur le rebord du meuble de lavabo. Devant ce dernier, trônait une grand glace qui faisait pratiquement tout le mur.
Les mains appuyée sur le rebord du meuble, Francesca fixa son reflet dans le miroir, et soupira.

Elle était pris entre deux sentiments. Elle n'aimait pas ce qu'il était entrain de lui arrivé...et en même temps, cette sensation lui était plus qu'agréable. Elle se mit à fermer les yeux, et inspira profondément avant de souffler lentement. De deux chose l'une : soit elle coupait court à toute cette comédie, soit elle s'investissait à fond. Mais quelque soit la décision finale, elle allait être dure à prendre.

Elle rouvrit les yeux et s'observa encore quelques instant, puis le regard vide de sens, elle croisa ses mains devant elle pour attraper les deux extrémité de son haut. En levant les bras, elle retira ce dernier et le laissa tombé à ses pieds. elle contempla une dernière fois son reflet dans le miroir, en secouant la tête....Cette fois-ci, elle ne souriait plus. pire encore, son air était fermé, avec un regard qui en disait long sur son auto-appréciation.

Elle tourna enfin le dos à son reflet et se déshabilla complètement pour entrer dans la douche.

Quelques instant plus tard, elle en sortit, se rhabilla très vite, et reprit un air un peu plus enjouée. Elle refit enfin son apparition dans la chambre, toute souriante...il était clair que, à en voir le sourire qu'elle affichait, personne n'aurait pu croire que quelques secondes auparavant, la jeune colombienne avait eu un moment de mépris envers elle-même....

- Me revoilà ! fit-elle enfin, toute enjouée. son moment de faiblesse était bien gardé....

Roméo après être tombé sur le lit, dos à francesca, se retourna vers elle, l'observa à nouveau, puis s'écroula à nouveau sur le dos, attrapant tout de même l'oreiller d'une main dans le cas où son adversaire reprendrait ses assauts en allant chercher le traversin. Il était un peu épuisé, mais avait encore des ressources d'énergie. il décidé un cesser le feu, le moment pour francesca de récupérer un peu, et pour lui de réfléchir à ce qu'il venait de se passer.

Roméo ne s'était pas amusé comme ça depuis longtemps, il avait comme une boule au ventre, la gorge serré, il souriait, il regardait le plafond pour éviter d'être tenter à nouveau par une approche qui avait été resté veine jusque là ... c'était clair pour roméo qu'il avait des sentiments pour francesca, sûrement un peu plus ... mais pour lui, s'imposait un dilemne ... pourquoi s'engager plus loin, pourquoi aller plus loin, pourquoi ... faire évoluer leur relation amicale vers une relation passionnel, surtout si francesca risquait de reprendre son périple du jours au lendemain, préviendrait elle roméo ? Roméo pouvait il lui faire confiance ? il était tenté pour la faire rester de lui confier sa boîte .... du moins la boîte de sa mère, qui la stressait tant depuis qu'il lui avait montré ...

Roméo jetta un coup d'oeil à sa voisine. puis reprit l'observation du plafond.


** Non ! te jettes pas sûr elle, parce que d'une elle va te prendre pour un tarré , et qu'en plus elle risque de te foutre un vent comme les deux dernières fois, et puis bon, si elle doit partir demain, tu seras tout con, tu te sera attaché à elle pour rien ... tu la reverras jamais si ça se trouve, elle repartira en colombie et puis voilà ... je pourrais effectivement profiter de ça, du fait qu'elle peut partir du jour au lendemain pour en faire ce que je veux, ... j'aurais pas besoin de la jetter après ... mais je suis déjà trop attaché à elle ... arffff .... que faire ??? continuer la bataille de polochon comme si de rien n'était ? comme deux gosses ? et puis j'ai un peu faim là quand même ... mais si elle a envi de faire quelque chose, ... si a son tour elle voulait tenter une approche ? arfff ... bon aller je compte jusqu'à 50 et j'y fais . 0 ... 1 .... .... **