Retour vers le passé (Charles)

Modérateur

Abigaël venait d'arriver d'Italie. Elle avait choisi de revenir à Marseille, non pas vraiment pour retrouver sa fille, mais ne serait-ce pas savoir à quoi elle ressemblait aujourd'hui. Elle savait que ça n'allait pas être une mince affaire de lui avouer qu'elle est vivante mais Abigaël pensait ne pas avoir le courage de faire ça. C'est pourquoi, elle s'était fait une raison, que plus jamais, elle ne serrait sa fille dans ses bras, c'était comme ça. Partir et abandonner sa fille, était la chose la plus difficile qu'elle avait dû faire dans sa vie, et tout ça, à cause d'une nuit passée avec un ami. Si seulement, elle et Fernand avaient pu sauver leur mariage après l'aveu d'Abigaël. Deux enfants avaient souffert à cause de son comportement, sa fille et son fils. Roméo, le jeune fils d'Abigaël, n'avait jamais connu son père. Abigaël avait été contrainte de lui faire croire qu'il était mort mais en réalité, le père de Roméo était sûrement encore vivant mais ça Abigaël ignorait où il pouvait se trouver. Elle était certaine qu'elle ne pourrait plus avouer la vérité à son fils. D'ailleurs, elle lui avait raconté qu'elle partait en croisière avec une amie. Roméo l'avait-il cru? Elle comptait emporter ce secret avec elle dans sa tombe mais pourquoi être venue à Marseille ? Abi, elle-même, n'arrivait pas à justifier elle-même la raison de son voyage... En revenant au mistral, elle risquerait de tomber sur Roland comme ils se connaissaient bien mais Abigaël avait beaucoup changé physiquement. Comme quoi avec l'âge, on vieillit mais pour Abigaël, c'était vraiment le cas. En quelques années, elle avait pris énormément de rides. Elle avait même pensé un jour faire une opération de chirurgie esthétique pour se rajeunir mais elle avait renoncé. Abi arriva sur la place avec ses valises, cherchant l'hôtel sélect mais ne se souvenant plus où il se trouvait exactement.
Abigaël eut une sensation étrange en revenant à Marseille. La première fois qu'elle était venue dans cette ville, elle avait 18 ans, à peine quelques mois avant qu'elle ne rencontre un jeune pêcheur, Fernand.

~ Marseillais ~

Charles voulait décompresser entre deux rendez-vous, il décida après avoir acheté son journal d'aller prendre un café au bar du mistral.
quelques mètres avant d'y arriver, il aperçut une jolie femme sur la place, qu'il voulut connaître un peu mieux, car il ne lui semblait pas l'avoir déjà vu dans le quartier.

Bonjour Madame,
vous me semblez perdu sur cette place, peut être ... puis je vous aider ? et vous inviter à m'accompagner pour prendre un café dans ce bar ?

Modérateur

Abigaël n'avait pas l'habitude de se laisser accoster par des inconnus mais oui, elle était perdue et donc elle allait accepter l'aide de cet homme.

Bonjour monsieur. Oui je cherche l'hôtel sélect et disons que je ne suis pas venue au mistral depuis des années, donc je m'y perds un peu en revenant, pourtant, il ne devrait pas y avoir eu beaucoup de changements. Je suis déjà venue en vacances dans ma jeunesse.

Abigaël ne voulait pas dire à qui que se soit, qu'elle avait vécu à Marseille, de peur qu'on finisse par découvrir qui elle est vraiment.

Je viens d'arriver à Marseille.
Pour le café, pourquoi pas, mais il faudra que je réserve d'abord une chambre. J'espère qu'il en restera de libre.

~ Marseillais ~

La jeune femme tout à fait charmante accepta son aide, Charles était sous le charme de cette femme qui lui plut beaucoup. Apprenant donc qu'elle avait déjà vécu dans le quartier, il se dit qu'il s'était peut être connu pendant leurs études. il aurait bien voulu que ce soit

Oui le quartier à beaucoup changer ces derniers temps, mais vous y avez vécu longtemps ? il me semble que votre visage m'aurais dit quelque chose, que je vous aurais reconnu si je vous avez déjà vu dans le quartier...
Enfin ...
Il était vraiment troublé par cette femme, il espérait donc plaire à celle-ci, et hésitât à l'inviter chez lui, mais peut être était-ce trop rapide ?
L’hôtel que vous cherchez se trouve juste là bas en face , l'immeuble en "V". Voulez vous que je vous y accompagne ? ou préfériez vous que je vous attende au café, je vous commande quelque chose ?

Modérateur

Non non, je n'ai jamais habité à Marseille, je venais qu'en vacances quand j'étais plus jeune. Peut-être que vous m'avez déjà croisé il y a des années mais c'était il y a plus de 20 ans la dernière fois que je suis venu. Enfin, vous savez j'ai beaucoup changé. La vieillesse, comme
on dit! Sinon, vous pouvez m'attendre au bar, il n'y a pas de problèmes. J'en ai pas pour très longtemps sauf si évidemment l'hôtel est complet. Dans ce cas-là, je devrais aller chercher un autre hôtel dans Marseille mais j'espère que je n'aurais pas à le faire. A tout de suite, enfin je l'espère!

Abigaël s'estimait chanceuse d'avoir beaucoup changé physiquement, sinon elle aurait failli trouver quelqu'un qui la reconnaisse vraiment. En tout cas, il était peut-être probable qu'elle ait connu cet homme dans le passé ou qu'ils se soient déjà vu. Mais Abigaël ne s'en souvenait pas. Elle se souvenait déjà très peu de certains amis de Fernand alors, un homme, qu'elle aurait croisé dans la rue ou autre part, c'était impossible qu'elle s'en souvienne.

Elle regarda en direction du sélect. Elle commençait à avoir de vagues souvenirs mais il fallait avouer qu'Abigaël avait une petite mémoire et donc, elle se souvenait rarement des endroits où elle a pu aller surtout si cela date de 20 ans et plus, en arrière.

Je vous remercie de m'avoir indiqué où se trouvait l'hôtel. J'aurais fini par trouver car le quartier n'est pas si grand. Je me souvenais juste qu'il y avait un hôtel dans ce quartier.
Mais il aurait très bien pu ne plus exister.

~ Marseillais ~

Charles écouta béa abigael parler. il buvait ses paroles, sourit quand elle se dit vieille, elle n'en avait pas l'air à ses yeux, et il se demanda l'âge que pouvait lui donner cette femme.

Il y a 20 ans que vous n'êtes pas venu ? hé bien ... cela ne me rajeunit pas, mais vous, je suis sûr que vous aviez autant de charme que maintenant.
Bien, je vous attendrais donc au bar, mais ne vous enfuyez pas , n'est ce pas ? s'il est complet, je vous aurais bien proposé de loger chez moi, j'ai plusieurs chambre, mes filles y logeaient, mais peut ne pas être bien vue qu'un homme invite une femme à dormir sans la connaître.

Bien, je vous attendrais donc au bar

Puis quand elle commença à partir vers l'hôtel et le remercia, en voyant ses valises, il trouva un prétexte pour gagner quelques instants avec elle, il répondit

Je vous en prie, tout le plaisir est pour moi. OOH !! Voulez vous que je vous aide à porter vos bagages ?

Modérateur

Ne vous inquiétez pas, je prendrais ce café avec vous, c'est promis.

Astrid était assez fatiguée. Elle avait deux grosses valises avec elle mais elle n'avait pas pu tout emporter avec elle.

Ca ne serait pas de refus d'avoir des bras en plus pour m'aider à porter mes valises mais je ne voudrais que ça vous ennuie évidemment.

Concernant ma vieillesse, je vous assure que j'ai bien changé et que si je revoyais quelqu'un que je n'avais pas vu depuis années, je suis certaine qu'il ne me reconnaîtrait pas.

~ Marseillais ~

Charles sourit quand abigaël lui promis de prendre un café.
Puis quand elle accepta sa proposition de prendre ses valises, frémont sourit de plus belle.

il empoigna les valises et l'accompagna à l’hôtel.
Mais non , rassurez vous, Vous accompagner à cet hôtel est un grand plaisir pour moi.

Puis il s'attrista d'entendre que cette femme se trouvait si vieilli que que personne ne la reconnaîtrait en revenant.

Hé bien, moi non plus je ne pense pas que l'on ne me reconnaîtrait si j'étais pas venu là pendant 20 ans, ou même 10.

Charles s'intéressa à elle, de plus en plus, il avait eu un début de coup de cœur pour cette femme, il voulut donc en savoir un peu plus.

et dites moi ? vous nous venez d'où alors ?

Modérateur

Oh c'est bien compliqué, mais pour résumé, je suis d'origine Italienne. J'ai vécu en Italie jusqu'à mes 17 ans et après j'ai vécu dans plusieurs endroits de France.

Elle ne donna pas trop de détails, ne voulant pas lui dire qu'elle avait vécu en réalité à Marseille et qu'elle avait épousé un marseillais de souche.

Enfin c'est bien trop compliqué que je vous parle de ma vie, et je ne tiens pas trop à en parler...

~ Marseillais ~

Charles comprit que cette femme ne voulait trop en dire sur son passé, ce qui faisait d'elle une femme mystérieuse, ou peut être une femme digne de lui, ayant fait autant de magouilles que lui dans le passé. Il n'allait donc pas pouvoir apprendre à la connaître, en savoir plus sur elle. mais ses sentiments actuels l'attiraient vers cette femme. Il avait lâcher les valises d'abigael si brusquement qu'elle eut un air étonné. il prétexta donc :

Excusez moi, il faut que je m'arrête un instant car comme vous me l'avez rappelé, je ne suis plus tout jeune non plus.

il fit semblant de reprendre son souffle, puis reprit les valises et repartie, il restait quelques petits mètres avant l'accueil de l'hôtel.

alors comme ça vous êtes italienne ? j'ai connu quelqu'un qui était italien.

Modérateur

Abigaël ne voulait prendre aucun risque, elle aurait trop peur que quelqu'un découvre qu'elle est vivante.

Et bien, il y a beaucoup de français qui sont d'origine italienne j'ai l'impression.

~ Marseillais ~

Ils arrivèrent sous le porche de l'hotel, charles se stoppa sur le seuil, et expliqua :

je ne suis pas le bienvenue dans cette hotel, la tenancière ne m'apprécie pas beaucoup. alors je vous attends ici, je suis désolé, j'espère que vous allez pouvoir monter vos valises seule.

et après nous irons au café, vous me parlerez de l'italie, j'aimerai tant visiter ce beau pays.

Modérateur

Abigaël se contenta de sourire à cet homme qui faisait preuve d'une grandiose gentillesse. Mais Abigaël ne connaissait pas la vraie personnalité de cet homme et si elle l'apprenait, elle risquerait de prendre la fuite. Lorsque Charles avait insinué qu'il n'était pas la bienvenue dans l'hôtel, Abigaël ne réagit pas, au fond comme si elle n'avait pas vraiment entendu ce qu'il avait dit. Abigaël entra alors dans le sélect et réserva une chambre puis monta ses valises dans sa chambre. Elle ressortit ensuite sur la place où Charles l'attendait.

Voilà je suis prête. Cette réceptionniste est tout à fait charmante. J'ai eu beaucoup de chances, il restait que deux chambres de libre. Bon on se boit ce petit café monsieur...?

Elle allait lui demander son nom mais Abigaël s'arrêta à temps car il allait sûrement lui demander à son tour son nom et Abigaël désirait rester discrète là-dessus.

~ Marseillais ~

Charles répondit à son sourire, quand il la vit redescendre l'escalier, il quitta le mur auquel il était adossé et l'accueilli avec un sourire, il l'écouta parler et lui répondit

ma fois oui, pour un si petit hotel, il est rare de trouver des chambres ..., Bon, allons boire ce café .

puis il réagit à l'hésitation de celle-ci sur le titre .

Frémont ! Monsieur Frémont ... mais appelez moi Charles, je vous en prie.

Il n'était pas dans l'habitude de charles de forcer une dame à dévoiler son identité, alors il évita la question.

Vous préférez la terrasse ? ou ...
il réfléchit, puis se dit qu'il vallait mieux pas qu'on le voit en passant par là... il espera donc que la femme lui réponde par cette deuxième proposition ...

Dans le fond du bar, nous y serons peut etre plus au calme.

Modérateur

C'est comme vous désirez mais il fait un peu chaud pour se mettre en terrasse.

Abigaël était toutefois mal à l'aise car elle allait entrer dans le bar de Roland Marci, un ami de Fernand, mais heureusement qu'elle avait changé sinon Roland risquerait de la reconnaître.

Je vais vous appeler Charles alors...

Elle décida à son tour de donner un prénom mais par prudence elle décida de donner un autre prénom que le sien. Elle se mit à réfléchir quelque seconde. Tant que Charles ne lui demandait pas son nom de famille, elle n'était pas inquiète.

Moi c'est Francine.

~ Marseillais ~

Charles fût ravi qu' abygael trouve peu confortable la terrasse.

Très bien alors allons à l'intérieur dans ce cas.

Charles attrapa la première chaise qui arrivait à sa porté de la dernière table du fond, celle ci tournait le dos au bar, il la recula pour laisser s’asseoir abigael (comme ça roland ne la voit pas ) .

Je vous en prie ...

Puis quand elle fût assise, il se retourna en direction du bar, leva un bras et interpella la personne de service ...

DEUX CAFE S IL VOUS PLAIT

Puis alla s'asseoir face à la sortie, toujours pour voir si personne ne le suivait. Il continua donc la conversation.

Bon, et donc vous venez directement d'italie là ?

Modérateur

Abigaël venait de passer déjà des minutes agréables en compagnie de cet homme, qui était tout à fait charmant. Elle ne savait pas trop où ça allait les mener, s'ils se reverraient par la suite, mais une chose était réelle, elle était contente d'avoir pu tomber sur un homme tel que Charles. Elle ne connaissait pas son passé, certes, mais si elle devait l'apprendre, cela ne changerait rien puisqu'elle même a fait quelque chose de reprochable.
Abigaël se sentait rassurée car Roland ne l'avait pas vu. Elle se contenta de sourire à Charles, prête à répondre à sa question.

Oui c'est bien ça. Je suis arrivée en fin de matinée à l'aéroport. Ca me fait étrange de revenir en France après les mois que j'ai passé là-bas. J'étais pourtant près de la frontière française mais je ne suis pas retournée en France depuis des années.

~ Marseillais ~

Charles était toujours autant troublé par cette femme, il la trouvait à la fois mystérieuse et transparente, à la fois complexe et simple, il ne savait pas ce qu'il ressentait à son égard, il se rendait seulement compte qu'il buvait la moindre de ses paroles, qu'il avait le regard attaché à ses lèvres.

Ah, vous étiez pas loin de la France ? L'italie vous a plu ? je pense que j'irais un de ces jours, de toute ma vie, même si j'ai beaucoup négocié avec des italiens, je n'y suis jamais allé, il faudra bien que j'y aille un jours avant que je quitte se monde. vous avez des endroits à mon conseiller ?

Charles, ne savait pas du tout quoi dire (), comme si, il était en admiration et qu'il ne pouvait plus parler. il esperait que "francine" lui parle de l'italie, de sa vie, son voyage pour lui éviter de parler et d'avoir l'air peut etre un peu ridicule.

Modérateur

L'ITALIE était un sujet sur lequel Abigaël/Francine serait heureuse de parler. Elle avait tellement de choses à dire, l'Italie était son souffle de bonheur, elle aimait être là-bas, auprès de toute sa famille mais c'était un déchirement pour elle, de quitter sa famille. Abigaël avait souvent voyagé depuis son départ de Marseille.

Vous savez j'ai vécu comme je vous disais jusqu'à mes 17 ans en Italie et ma famille est pure italienne. Je peux tenir une conversation en italien, et si je vous parle de mon pays, il risque de m'en falloir une semaine entière.

Bien sûr, elle exagérait sur ses mots mais elle avait tellement de choses à lui raconter.

Je suis certaine que vous auriez l'occasion d'y aller un jour. Vous trouverez bien une belle femme pour vous accompagner et si y'a bien deux endroits que je conseillerais à tout le monde d'aller un jour, c'est ROME et VENISE ; deux villes absolument magiques.

~ Marseillais ~

Alors vous y êtes retourné après avoir passé un temps ici, je comprends que vous y soyez attaché à ce pays,

Mais vous avez cas commencer à me parler de l’Italie, je pense pas qu'il y en ai pour une semaine, c'est comme nous ici, quand on dit deux heures, on dit 15 minutes ... , les minutes marseillaise vous devez bien connaitre ça vous.

Effectivement, j'aurais surement l'occasion d'y aller un jours, quant à la belle femme pour m'y accompagner ... pourquoi pas vous ?

Modérateur

Abigaël était troublée quand aux paroles de Charles. Il est vrai qu'elle le trouvait très séduisant et se sentit gênée car elle avait beaucoup de mal à cacher ce qu'elle pouvait trouver sur lui-même.

Vous savez, je ne sais pas combien de temps je resterais à Marseille. Je suis venue pour passer des vacances, changer un peu d'air..

Elle craignait surtout que son fils découvre qu'elle lui a menti sur sa destination et sur la raison de son voyage.

~ Marseillais ~

Charles, pensait jusque là que Francine, avait autant d'attirance à son égard que lui en avait pour elle. mais là, elle venait de lui faire comprendre, qu'elle n'aimerait pas s'attacher à quelqu'un, son passage n'étant que provisoire. il voulu quand même tenter une dernière approche.

Ecoutez Francine, je trouverai cela dommage que vous repartiez ci vite, il n'y a que très peu de temps que nous nous connaissons, et pourtant j'ai déjà l'impression de tellement vous connaitre, je crois que j'ai un coup de foudre qui a éclaté en moi. JE VOUS AIME !! je pourrais vous loger dans ma villa, le temps que vous êtes sur Marseille, cela vous éviterez de trop payer l'hotel.

Modérateur

Abigaël était touchée par la déclaration d'amour de Charles. A vrai dire c'était plutôt réciproque, mais elle avait peur de s'engager à nouveau dans une relation amoureuse car c'est une chose qu'elle n'avait pas connu depuis Fernand ou le père de Roméo. Mais pourquoi fuir ses sentiments? Ce n'était pas une chose qu'elle souhaitait faire.

J'ai l'impression de me comporter comme une adolescente mais je crois que j'éprouve la même chose que vous Charles.

~ Marseillais ~

Charles fût dans un sens rassuré de savoir qu'elle aussi l'aimait. Mais maintenant, que pouvait il lui dire, il venait de lui proposer de s'installer chez lui quelque temps, kit à ce que ce ne soit pas dans la même chambre au départ, car même si cela avait été un coup de foudre, ils se connaissaient à peine. il préféra lui sourire, et lui caresser délicatement le visage, espérant un baisé de sa part. IL se mit alors à imaginer une vie avec elle. il chuchota :

Francine !!

il lui toucha légèrement les cheveux.

vos cheveux sont si doux, si beau (lol, je sais vraiment pas quoi dire hehe

, ça fait pub pour shampoing)

Modérateur

Abigaël était complètement chamboulée. Elle n'arrivait plus à contrôler ses sentiments. C'était une situation étrange qu'elle était en train de vivre. Mais pouvait-on parler vraiment de quelque chose d'étrange? L'amour était-il une chose étrange? non! donc Abigaël était dans son droit le plus total d'aimer un homme. Elle se leva pour aller l'embrasser et lui fit oui de la tête pour lui dire qu'elle était d'accord de venir habiter chez lui.

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