(bon alors..euh...je crois qu'on y est !! lol. Personnellement je me demande ou je vais chercher tout ça mdr. Les détails ne me dérange pas, mais je ne sais pas si je serais à la hauteur par contre lol)

Myriam bascula à la place de Jordane pour laisser cette dernière prendre le dessus. L'incroyable de la situation pour la professeur, c'était de ne pas pouvoir se passer une seule seconde du contact des lèvres de Jordane....elle dépendait corps et âme de son élève, alors que durant toutes ces années Myriam était persuadée que JAMAIS, elle n'aurait pu éprouver de telle sentiments pour quelqu'un étant son passé assez perturbant.

Elle se laissa faire sous les caresses de la jeune femme et gémissait de plus belle lorsqu'elles reprirent leur voluptueux baiser. Elle sentit la légère pression provoquer par son soutien-gorge s'évaporer : Jordane l'avait dépouiller de ce fin tissu blanc et Myriam aida son étudiante en accompagnant des bons gestes, la chute du soutien-gorge au sol.

Tu es la plus belle femme que j'ai jamais vu...

Cette simple phrase avait eu raison des pulsions de Myriam. Elle se sentit défaillir et avait l'impression de s'être échapper durant une fraction de seconde de son corps. Son cœur avait manqué un battement, et accélérait maintenant le rythme de sa respiration.

Myriam entoura alors le cou de Jordane, croisant sa bras à l'arrière de sa tête, et prolongea avidement leur baiser...Mais elle du se séparer à contre-cœur de ses lèvres, pour laisse Jordane partir à la conquête du corps de la professeur. Les mains de Myriam accompagnait la tête de Jordane à chaque fois que celle-ci descendait et avait enfoui ses doigts dans la longue chevelure de la jeune peintre. Elle haletait, savourait, s'extasiait de ce moment, ne réalisant qu'à moitié ce qu'il se passait....et dire qu'elle avait failli passer à côté de tout ça ? à côté de toutes ses sensations ? à côté d'une soirée aussi électrisante que celle-ci ?

Myriam sentit alors la bouche chaude de Jordane sur ses seins, et ne put s'empêcher de réprimer un léger cri, qui s'apparentait plus à un gémissement grave et soupirant. Sa respiration était saccadé, et elle se cambra de plaisir sous les caresse de la jeune brune. Myriam allait finir par exploser si elle ne la sentait pas au plus près d'elle maintenant, si elle ne sentait pas en elle tout de suite.

Elle lâcha alors les cheveux de sa compagne et agrippa le visage de Jordane pour la forcer à relever les yeux vers elle. Myriam, fiévreuse, la fixa longuement, en tentant de reprendre une respiration plus ou moins régulière mais bruyante. Elle avala alors difficilement sa salive et se permit un mot, un seul... suivit d'une supplique :

- Viens...s'il te plait.

sa voix grave était à la fois implorante et enivrante...elle tremblait légèrement de désir et voulait faire comprendre à Jordane qu'elle n'allait pas tenir très longtemps encore

Myriam avait eu besoin de reprendre son souffle et ses esprit après ce que venait de lui faire vivre Jordane. Elle ressentait encore des échos du plaisir quelques secondes plus tôt et aurait voulu faire entendre à l'étudiante à quel point elle était reconnaissante de lui avoir fait connaître ce genre de plaisir charnel...Seulement, elle ne s'imaginait pas lui dire "merci", ne souhaitant pas que ces paroles paraissent déplacer. La seule chose qui lui venait en tête pour la remercier était simplement de lui offrir à son tour, un moment magique comme celui qu'elle venait de vivre.

Seulement elle appréhendait, et alors qu'elle se terrait dans les bras de la jeune peintre, elle se demandait si elle saurait se mettre à la hauteur de Jordane. Elle commençait à reprendre une respiration régulière et profitait des dernières caresses de Jordane, lorsqu'elle sentit la main de l'artiste se balader dans son dos...l'espace d'un instant, Myriam avait oublié : elle avait oublié l'une des raisons de son malaise physique, elle avait oublié son passé déchirant, elle avait oublié cette marque indélébile sur son dos. Et elle se doutait bien que si elle laissait Jordane s'y attarder un peu trop, cette dernière allait finir par se poser des question et par conséquent poser des question à sa professeur.

Myriam profita alors de ce moment pour reprendre les choses en main et tenter de faire partager à Jordane le même plaisir qu'elle avait ressenti auparavant. Elle s'empara de ses lèvres et lui offrit un baiser qui signifiait clairement que les choses n'étaient pas finies, et qu'elle se montrerait assez forte pour passer outre son appréhension et son manque d'expérience en matière de femme...

Elle se positionna au dessus de Jordane, sans lâcher ses lèvres et laissa ses mains reprendre leur parcours de découverte sur le corps de l'étudiante. Elle souhaitait reproduire les gestes de cette dernière parce que, comme Jordane le lui avait si bien dit quelques minutes plus tôt : "il faut faire ce que tu aimerais faire ou ce que tu aimerais qu'on te fasse"...par conséquent, si Jordane lui avait offert ce genre de caresse, c'est qu'elle devait en être friande (j'ai pas trouver mieux comme mot désolée lol).

Myriam laissa descendre sa bouche sur le corps de Jordane, n'oubliant pas de marquer son parcours par quelques baiser sur le cou, la gorge, le buste de la peintre et s'arrêta au niveau de sa poitrine pour retranscrire à l'identique, les précédents gestes de sa compagne. Elle s'attarda sur ses seins, en caressant l'un de sa main, l'autre de sa bouche... Elle y resta assez longtemps, afin de prendre véritablement conscience que, non seulement elle aimait faire plaisir à sa femme, mais elle se faisait plaisir à elle-même étant donné le goût qu'elle prenait à le faire.....finalement, cette simple soirée lui permettait de se connaître mieux et de savourer son nouveau passe-temps, sa nouvelle passion : le corps d'une femme. Bien sûr, cela semblait plus évident à assumer vu qu'en cet instant précis, elle ne se posait pas de question; les choses en seraient sans doute tout autre, lorsque leur plaisir charnel prendrait fin et que la réalité reviendrait au galop, rappelant à Myriam que la situation était beaucoup plus compliquée qu'elle n'y parait maintenant.

S'assurant que Jordane avait atteint le plaisir maximal au niveau de sa poitrine, Myriam abandonna cette zone érogène et joua de sa langue pour descendre un peu plus bas et titiller le nombril de sa compagne, tout en s'occupant de la boucle de ceinture de Jordane, et les boutons de son jean. Myriam attrapa alors les pans du jean et tira délicatement sur ce dernier, pour le forcer à quitter sa place et libérer les fesses, puis les jambes de la jeune peintre...La professeur se redressa doucement et tira un peu plus sur le jean pour le retirer complètement, et l'envoyer un peu plus loin au sol. Myriam reprit alors sa place initiale et se reconcentra sur le ventre plat de Jordane. Elle agrippa la jeune peintre à sa taille, de la main droite, tandis que sa main gauche caressait de haut en bas la cuisse longue, fine et ferme de Jordane, avec délicatesse, à la limite de l'effleurement...Elle prenait son temps pour découvrir le corps de l'étudiante, et descendit encore plus bas, à son bas ventre brûlant, pour y déposer une bouche tout aussi chaude en quelques baisers. De sa main gauche, Myriam attrapa ensuite un peu plus fermement la cuisse de Jordane qu'elle caressait quelques minutes plus tôt, et embrassa l'intérieure de la cuisse, pouvant ainsi découvrir la nouvelle douceur de la peau satinée de l'étudiante sur cette zone précise, en se délectant de sa chaleur. Sa bouche parcourait en plusieurs baiser, cette parcelle de peau et passa sur la face extérieur de la cuisse, pour remonter sur sa hanche, son flanc gauche, ses côtes, sa clavicule, son épaule, son cou...pour revenir finalement dévoré ses lèvres....

C'est à cet instant précis, que Myriam décida de s'aventurer vers le point culminant du désir. Elle laissa sa main descendre entre les cuisses de Jordane, et se mit à jouer avec délicatesse avec le fruit défendu de l'étudiante, prenant son temps, marquant ses gestes et prenant un rythme régulier... Elle ne lâcha pas tout de suite les lèvres de Jordane, savourant celles-ci dans des baisers dévorants et enivrants, puis enfouit enfin son visage dans le cou de la jeune femme pour embrasser son cou, synchronisant ses baisers avec les va et vient et de sa main sur l'entre jambe de Jordane...

Murmura doucement la jolie peintre. Ses yeux fixèrent ceux de Myriam. Son regard était remplit de douceur et de tendresse.

" Tu es belle quand tu jouis chérie... "

Même si Myriam avait prit son courage à deux mains pour assumer ses désirs devant Jordane, parler de sentiments était encore un pas difficile à franchir pour la professeur. non pas qu'elle n'éprouvait pas la même chose qu'elle, non pas qu'elle ne voulait pas lui dire qu'elle l'aimait...seulement Myriam avait encore du mal à révéler à voix haute des sentiments aussi profond.

C'est pourquoi, avec timidité, Myriam se mit a sourire lorsque Jordane lui avoua qu'elle l'aimait, mais resta muette face à cette révélation. Elle se contenta de la gratifier d'un dernier baiser avant de se redresser légèrement.

Elle commençait seulement à réaliser ou elle se trouvait, avec qui elle se trouvait et les évènements à suivre...mauvaise chose. Elle était pourtant si heureuse l'instant d'avant...elle flippait maintenant.

La proposition de l'étudiante ne l'aida pas à calmer son angoisse :

Chérie, tu veux manger quelque chose ? Je t'invite, j'ai de quoi manger dans le réfrigérateur si tu veux bien rester...

rester ??? resté manger ? comme le fond les couples normaux qui vivent en parfaite harmonie avec ce qu'ils sont ?? comme le font les couples établis qui s'aiment ??

** Oh oh ! Qu'est-ce qu'il se passe là...la dernière fois que tu es entrée dans ce genre de train train, t'as fini par te marier ! ..bon bah de panique c'est un simple dîner !...oui, mais non...je peux pas. Putain qu'est-ce qui m'arrive là ?! **

Myriam venait de se perdre dans ses pensées et se leva instinctivement du canapé pour se tenir debout en pleine milieu de la pièce. Elle tournait le dos à Jordane, et regarda un peu partout au sol, pour constater le décor...des vêtements partout au sol, témoins du moment qu'elle venait de passé. Non loin des toiles de l'étudiante.

** Non merde....arrête de penser que c'est ton élève, c'est trop tard pour ça...tu vas tout gâcher...Ca y'est : tu gâche tout ....**

Myriam s'empara de son soutien-gorge qu'elle remit en vitesse, d'une part parce qu'elle cherchait à se rhabiller, et d'autre part, parce qu'elle tournait toujours le dos à sa compagne, laissant ainsi une vue imprenable sur ce qu'elle cherchait à cacher.
Elle s'empara ensuite de son haut, et l'enfila tout en cherchant à répondre à la jeune peintre...

- Euh...c'est gentil de ta part mais...non, désolée, je ...je dois rentrée....

il fallait qu'elle se calme, et qu'elle prenne du recul. tout ceci n'était pas normal : elle venait de passer un sacré moment et paniquait maintenant à cause de ce même moment....

Elle prit un pantalon au sole et l'enfila, et fixa Jordane lui prétextant une excuse :

-J'ai du boulot qui m'attends, et des copies à corriger pour le lycée, je dois pas trainer...

Elle tenta de fermer les bouton du pantalon, mais n'y arrivait pas....dans la précipitation, elle s'était trompé de pantalon et avait prit celui de Jordane.

- Merde, c'est pas le mien !!

Myriam se rendait bien compte que c'est elle-même qui compliquait la situation en agissant ainsi avec angoisse, mais c'était plus fort qu'elle : tout lui revenait en tête, et il est maintenant difficile de faire comme si rien n'existait.

Jordane tentait d'attirer son attention, de capter son regard, mais Myriam restait bloquer sur ce fameux pantalon qui n'était pas le sien...elle inspira profondément et releva enfin la tête au dernière paroles de l'étudiante

Chérie ! Je sais très bien ce que tu es en train de penser. Arrêtes... profites de la soirée, ou part si tu en a envie... mais arrête de te poser tant de questions...

La professeur regarda son étudiante d'un air désolée..elle s'en voulait d'agir comme ça, mais il lui fallait du temps pour réussir à gérer la situation. Elle ne voulait pas la quitter, non ça, pas question...mais elle ne voulait pas non plus se foutre de ce qu'il se passait autour et prendre des risques inutiles. Son étudiante....elle venait de coucher avec son étudiante et sur le moment, n'en avait éprouver aucun scrupule. Elle s'imaginait être la pire femme qu'il soit : Des parents confiaient leur progéniture à des personnes étrangère qui n'avait que pour rôle d'enseigner la vie, la culture....et Myriam, elle, venait de trouver le moyen de dépasser les bornes et de manquer de responsabilité, pour les beaux yeux d'une de ses étudiantes...belle, charmante, adorable, vivante, presque irréelle, certes ! Mais ça ne devait pas lui servir d'excuse pour couvrir son geste déplacé.

Il lui fallait du temps pour digérer ce qu'elle venait de commettre, et trouver une solution pour elles deux. Car une chose est sûre : avec ce qu'elle venait de vivre, Myriam aurait bien du mal à se passer de Jordane, à se passer de son regard, à se passer de sa voix, de ses paroles, de ses attentions tellement touchantes....Mais tout ceci était-ce vraiment suffisant pour faire le poids face au danger qu'elles courraient forcément toutes les deux si elles continuaient de se fréquenter ??? La professeur ne savait pas...ne savait plus. elle devait réfléchir à ça, mais seule...

Elle retira enfin le pantalon de Jordane et attrapa le sien qui trainait à ses pieds. Tandis qu'elle l'enfilait elle répondit à Jordane en tentant de garder un semblant de calme :

- Jordane je....Je sais plus trop ou j'en suis là et....je veux dire : c'était super ce qu'il vient de se passer mais....Ce que j'ai fais, ce que je t'ai fais : c'est pas bien, c'est pas raisonnable, et je sais pas comment je vais m'en sortir maintenant. On a oublié quelque chose d'essentiel à la situation : Je suis TA prof ! j'ai commis quelque chose de grave.

Non ! Non ! Ne me dis pas ça je t'en supplie ! Non... Je t'en supplierais à genoux... Ma belle brune, ma chérie... je n'ai plus les mots. Mes lèvres s'entrouvent mais rien ne sort parce que tout ce que tu dis est vrai. Pourquoi ? Il y a deux minutes la vie était bien, était belle, était même trop belle. Pourquoi faut-il qu'en quelques secondes, elle redevienne pleine de dangers, de raisonnements pourris qu'on aimerait négliger. Pourquoi putain ! Pourquoi !

Je veux simplement être avec toi, le reste on s'en fou ! Pourquoi la vie devrait être autrement, on est bien ensemble non ?

La jeune peintre prit la main de Myriam dans la sienne, à la recherche d'une autre émotion que l'angoisse, mais rien ne vint. C'était trop tard... Le temps était passé trop vite ce qui confirme que toute bonne chose a une fin. De nouveau, le mot pourquoi fit son apparition. Il avait beau existé, Jordane savait très bien pourquoi. Parce que Myriam est sa professeur... Parce que Myriam a 10 ans de plus... Mais Myriam n'est pas inaccessible merde !! Elle était là, avec moi !


- Jordane je....Je sais plus trop ou j'en suis là et....je veux dire : c'était super ce qu'il vient de se passer mais....Ce que j'ai fais, ce que je t'ai fais : c'est pas bien, c'est pas raisonnable, et je sais pas comment je vais m'en sortir maintenant. On a oublié quelque chose d'essentiel à la situation : Je suis TA prof ! j'ai commis quelque chose de grave.

Pour la première fois, elle avait dit Jordane. Pour la première fois, elle lui avait adressé la parole en commençant par son prénom. Jordane.

" Je sais... je sais... " Murmura doucement l'étudiante. Le problème c'est que tu es ma professeur et que je t'aime ! Voilà !
" Tu n'as pas commit quelque chose de grave ! Myriam... restes... je t'en supplie... Les choses vont s'arranger... on va se cacher. On s'en fiche des autres. D'accord ?... "

Un silence engloutit d'un seul coup la pièce. Jordane n'arrivait vraiment pas à retenir sa belle.

" Chérie je t'en pris ! Je ne suis pas une gamine, je sais très bien comment va se dérouler les choses, alors s'il te plait, fais-moi confiance ! On se comportera comme on l'a toujours fait et tout ira bien ! "

La jeune étudiante essayait de rester calme et de garder son sang froid. Elle avait déjà vécu ce genre de conditions. Non, elle n'avait jamais eu une professeur comme compagne, mais elle est déjà sortit avec une fille dont le père était homophobe. La relation n'était pas facile à vivre parce qu'elles devaient se cacher. Mais là, ce n'était pas pareil, ce n'était qu'au sein de l'école.

" Myriam, il n'y a qu'à l'école qu'on devra se cacher... "

Le regard de Jordane devint triste, remplit de mélancolie, de désespoir. Non les larmes ne montaient pas, non les larmes ne montaient pas... non... les... larmes... montaient...

Myriam était confuse et ne savait plus ou se mettre. Elle ne supportait pas le regard suppliant de Jordane, parce qu'il traduisait sa tristesse et Myriam en était responsable.

Chérie je t'en pris ! Je ne suis pas une gamine, je sais très bien comment va se dérouler les choses, alors s'il te plait, fais-moi confiance ! On se comportera comme on l'a toujours fait et tout ira bien!

Non, les choses n'allait être pareilles. tout allait être différent....parce que tout avait changé dans la tête de la professeur. Il ne s'agissait plus de mépriser la jeune peintre comme avant. Non, il fallait faire semblant de ne pas s'y intéresser, faire semblant de ne pas voir son regard, de ne pas sentir sa présence, de ne la côtoyer chaque en faisait comme si elle n'avait rien en commun. Il fallait aussi faire semblant de n'avoir rien à se reprocher, de ne pas réfléchir à son acte irresponsable, de faire semblant de s'en foutre...L'angoisse prit alors le dessus sur les paroles de Jordane qui se voulait rassurante. Myriam affronta le regard de son élève et dans le sien, on pouvait lire toute la peur du monde

- Non Jordane, tu ne comprend pas bien...ca ne sera jamais plus comme avant. Et tu le sais tout aussi bien que moi ! Tu arriveras, toi, à faire comme si je n'étais rien pour toi ? Tu arriveras à me voir comme une simple prof ? Moi, non...je sais que je pourrais pas. je chercherais sans doute ton regard, et l'instant d'après, je me maudiras d'avoir osé nous mettre dans une situation pareille. Et puis c'est pas comme n'importe quel relation de ce genre : c'est pas une professeur avec son petit étudiante pré-pubère ! non, c'est UNE professeur, avec UNE étudiante....


Myriam en avait enfin fini avec son pantalon, et s'était arrangée du mieux qu'elle pouvait pour donner l'impression que rien ne s'était passé. Elle se rassit alors si le canapé et attrapa chaussure pour les enfiler. Se faisant, elle tenta de mieux s'expliquer

- Je ne te dis pas qu'il faut oublier ce qu'il s'est passé entre nous Jordane....je dis juste qu'il me faut du temps. Je peux pas tout assumer en un claquement de doigts comme ça !

Elle avait joint le geste à la parole et on avait pu entendre le claquement de ses doigts résonner dans la pièce....Une fois ses chaussure enfiler, Myriam resta assise et leva la tête en direction de Jordane au milieu de la pièce. Elle avait appuyer ses mains sur ces propres cuisse et ajouta :

- Je veux pas perdre mon job...et...je veux pas ...enfin....

** Dis-lui...dis-lui que tu veux pas la perdre non plus, c'est pas compliqué ?! **

Myriam soupira, incapable de sortir ce qu'elle avait envie de dire...trop tôt, c'était trop tôt pour elle.

[TERMINÉ]