Claire Delaitre// Jeu de l'été

~ La femme comblée ~

CARTE D’IDENTITÉ

Claire Delaitre

Age : 35 ans

8/07/1985

Statut : En couple

Gr : Delaitre Frémont

Métier : Institutrice

Lieu de Naissance : Paris

Nationalité : Française

Claire

Age du joueur : 26 ans

PHYSIQUE

Je suis blonde, enfin j'ai perdu pas mal ma couleur, je l'étais beaucoup plus étant enfant. Maintenant, ce n'est que grace au soleil que je retrouve ma belle couleur de cheveux. Mes yeux ont toujours été bleu, c'est une partie de mon physique que j'aime beaucoup... Même si au final je suis beaucoup dérangé par le soleil (quand je compare avec Juliette). Je ne suis pas très grande (1,69 ce qui est dans la norme, je suppose) mais c'est suffisant pour avoir l'air plus grande que mon fils quand même... J'ai toujours eu les cheveux bouclés et long... Enfin plus ou moins. Je ne les ai jamais coupé plus haut que les épaules... Cela dit ils sont très énervant a coiffer. Et si je les coupes j'ai l'air d'un vrai mouton... Une horreur. Et comme j'ai souvent pas trop le courage de les lisser bah... Je laisse comme c'est. Si j'y faisait plus attention, j'aurais sans doute de plus jolies boucles. On m'a toujours dit que j'avais des petits bras, surtout mon frère pour se foutre de moi, mais j'ai de la force. Des fois je me surprends moi même, je suis sure que je ne suis jamais allé a mon "maximum". Je ne suis pas vraiment sportive, mais j'aime bien faire des activités ou il faut bouger. Je suis du genre a aller me promener en foret si j'ai le temps. Ou faire un jogging. Mais ça, bizarrement ça me soule un peu plus que la promenade en foret. Je ne suis ni trop grosse ni pas assez. Enfin sans doute un peu plus "maigre" que la normale... Et c'est pas faute de me gaver de gâteaux!

Histoire

Je suis née a Paris et j'y ai vécu durant 6 ans avec mes parents, mon frère mon oncle et mes cousins. J'ai eu une vie on ne peux plus normale, du moins c'est ce que je pense quand je me remémore ces moments. Ils sont un peu flou maintenant, et j'ai l'impression d'en avoir inventé la plupart.
Ensuite, mon père a du changer de lieux de travail. Et de travail aussi, au final. Genre il était architecte a Paris, je me souviens encore très bien de son cabinet ou j'ai du sans doute y passer des heures pour l'attendre quand personne ne pouvait venir s'occuper de mon frère et moi. Puis, il a eu une subite envie de reconversion... Et il n'a rien fait a moitié. Il a embarqué sa famille (ma mère n'avait pas encore de travail a cette époque) en Colombie! Je peux dire que le changement était radicale. Mais au lieu de pleurer mes amis et ma cousine (avec qui j'étais très proche) j'ai surtout fait de nouvelles rencontre. J'étais jeune et je pense qu'en réalité je n'avais pas encore véritablement d’attaches. Quoi que, j'en ai eu avec une amie une fois arrivée la bas et je l'ai quitté aussi facilement que ma cousine lorsque j'ai du partir de Paris.
Mes années en Colombie se résume surtout a des rires entres amis, des grands groupes de potes qui zone un peu dans les rues. Des squats de potes chez moi, ou chez eux. Et quand je parle de pote c'est surtout la bande de mon frère que je squattais tranquillement avec ma meilleure amie : Charlie.
Le lycée, le collège, la FAC. Bon, rien de bien passionnant la bas... C'est comme chez nous sauf qu'on passe notre temps a mourir de chaud dans des salles pas toujours climatisées.
Ensuite j'ai rencontré le père de mon fils, Sacha. C'était plus ami qu'un véritable coup de coeur (mais ça je l'ai su plus tard)... Ca s'est fait par la force des choses, et surtout par l'insistance de mes amis qui pensaient qu'avoir un ami garçon n'était pas "normale". Il est partit en me laissant enceinte (sans le savoir, sinon il ne serait peut etre pas partit... Ou pas). J'ai tout plaqué. Mon job que j'avais en Colombie. Ma famille... Je voulais reprendre un nouvea départ. Mais en France cette fois, sauf qu'en partant en Colombie je n'avais pas beaucoup gardé contact avec ma famille sur place, seule ma tante a Marseille avait été au courrant de mon arrivée, du coup j'ai vécu la bas par la force des choses. J'ai rencontré Sacha la bas, il avait retrouvé sa famille... Celle qu'il avait quitté comme ce qu'il m'avait fait. Il avait une fille et une ex. C'était... Bizarre, mais je n'étais pas vraiment contrariée. Au final, je lui ai juste présenté son fils et on a fait nos vies chacun de notre cotés. Je suis restée durant quelques années chez ma tante avec Pablo. 3 ans plus exactement, avant de trouver un appart a moi. Puis on a déménager de nouveau a ses 6 ans. Coup de foudre. Coup de massue aussi. Juliette Frémont. C'est le nom de ma compagne, autant vous dire que ça m'a fait un choc de savoir que j'aimais les filles. Pas que je sois homophobe ou quoi, mais c'est juste que j'avais eu qu'une relations avant elle. Le père de Pablo. Bref, j'ai surmonté ça... De façon plutot bizarre et rapide, j'avoue. Mais quand on a rencontré son ame soeur c'est difficile de vivre sans. Et maintenant ça va faire presque 4 ans que nous sommes ensemble. Les débuts on été difficile, Pablo n'acceptait pas la situation. Du moins, beaucoup moins de Gabriel qui lui n'avait pas de père. Pablo m'en a voulu... Enfin c'est ce que je crois. aujourd'hui il joue le role du grand frère parce qu'il a redoublé et qu'il est plus grand que Gabriel, même si ils sont dans la même classe.
Ils sont frères, c'est comme ça qu'ils se voient... Même si je pense que Pablo ne le voit pas complètement de cette façon. Nous avons été accueillit dans une énorme famille. Comparé a ce que nous avions avant, les fêtes de Noel et de fin d'années ont été d'un coup, beaucoup plus agréable a vivre pour nous. Même si je ne regrette pas de les avoirs passés avec, pour seule compagnie, mon fils.
Alors que je pensais ma vie parfaite comme ça, Juliette (ma compagne) m'a parlé d'insémination et de bébés. Je flippe. Parce que pour moi la vie que l'on a est bien comme ça, parce que je ne m'étais jamais dit que j'aurais une famille nombreuse, parce que j'aimais ce que j'avais. Mais aimer l'autre c'est aussi savoir faire des concessions non? Et puis un bébé avec l'age de nos enfants c'était complètement faisable. Pablo commençait déjà a vouloir faire son grand, et il me demandait de ne pas l'embrasser devants toute l'école. Alors il ne sera sans doute pas très jaloux d'un bébé? Eh bien le comble de tout c'est que les enfants étaient ravis de cette nouvelle, Pablo le premier parce qu'il serait un "vrai grand frère". Oui, parce qu'en plus on a décider de faire des essais chacune a notre tour pour "augmenter les chances". Sauf que si on tombe enceinte en même temps on est pas dans la merde. Dans quoi est ce que je me suis fourrée encore?!

Liens

▬ Pablo Delaitre Frémont : mon fils
▬ Juliette Frémont : ma compagne
▬ Gabriel Frémont Delaitre : mon beau fils
▬ Céline Frémont : ma belle soeur
▬ Virginie Mirbeau : ma bele soeur par alliance
▬ Charles Frémont : mon beau père
▬ Abigael Lorenzi Mirbeau : ma belle mère par alliance
▬ Natacha Chauvin : la cousine de ma compagne
▬ Mathis Frémont Mirbeau : le fils de ma belle soeur
▬ Stana Frémont Mirbeau : la fille de la compagne de ma belle soeur
▬ Fabien Rinato : le compagnon de Natacha
▬ Sophie, Gabrielle et Alice Chauvin : les filles de Natacha
▬ Sacha Malkavian : le père de Pablo, mon ex
▬ Caroline Delaitre : ma cousine
▬ Grégory Dlelaitre : mon frère
▬ Charlie Bélanger : ma meilleure amie du collège/lycée
▬ Roméo Lorenzi : le frère de la compagne de ma belle soeur
▬ Francesca Lopez : la compagne du frère de la compagne de ma belle soeur

THANKS

Modérateur

Racontes moi ta première rencontre avec Charlie, en une dizaines de ligne minimum Smile

Bon courage!

~ La femme comblée ~

J'avais pris l'avion, j'étais trop excitée parce que j'allais le prendre pour la première fois. On oublie jamais ses premières fois. Et puis une fois sur place j'avais été plutot déçue, je ne sais pas trop a quoi je m'étais attendue, peut etre a quelque chose de plus grand, de plus beau avec les magnifique paysage dans les livres que mon père m'avait montré.

Bref, c'était un peu plus "refroidie" que j'avais fait mon entrée a l'école la semaine suivante. Je m'étais assise a une table après que la maitresse ai fait ma présentation a la classe. C'était une école francophone, parce que toutes les autres étaient en Espagnol et que je ne maitrisais absolument pas la langue. Je m'étais dit que j'allais etre la petite nouvelle, que tous les monde se connaissait déja. Erreur. 10 minutes après que le cours ai commencé, une autre petite fille, une nouvelle s'était installée a mes cotés après que la maitresse ait fait pour elle aussi sa présentation.

On était toutes les deux nouvelles. On était un peu timide, dans cette école ou tout le monde était plus grand que nous. Tous les autres de la classe se connaissaient plus ou moins depuis la maternelle. Alors, a la récré c'est naturellement qu'on s'est mise cote a cote et qu'on a parlé.

- Comment t'âppelles tu? m'avait elle demandé avec son accent québécois.
- Claire. Tu parles bizarrement le français toi...
- Non, c'est pâs vrâi... T'chicanes tu!!
Je la regardais avec des gros yeux.
- Moi je parle le français, et j'ai pas d'accent, tu viens d'ou?
- Du Quebec t'sais... Chui née à Québec, et tsu?
- A Paris, en France. Tu est arrivée quand ici?
- Ch'ai pu... Mon pare l'a tout pleins d'bacon, tsais... Alors j'ai beaucoup mouver. Je me souviens pâs bien...
A ce moment la mon grand frère est arrivé et nous a regardé.
- Tu t'es fait une copine?
J'avais haussé les épaules en guise de réponse. Et il avait sourit.
- Je voulais aller jouer au foot avec les copains mais il manque le gardien... Et j'ai dit a mes copains que t'étais la meilleure alors... Tu viens?
- C'est ton chum?
- Hein? Je la regarde et je regarde mon frère, il ne me faut pas longtemps pour comprendre. C'est mon frère. Puis, je me tourne vers Grégory. Elle peux venir?
- Ah non, moi j'aime pas assez ça... Mais vas y, si t'veux tu...
- Tu parles bizarrement... T'es pas française? demande mon frère.
- Allez vous arrêtez d'baver sur moi?! Chui d'Quebec moi! J'en ai la tête grosse même de vous, j'ai pas d'accent c'est vous qu'avez un accent.
- Je vais rester ici, j'ai pas très envie d'aller jouer au foot de toute façon.

J'avais surtout pas envie que ma seule amie aille voir ailleurs en fait. Et puis, elle commençait déja a s'énerver sur nous, alors c'était mal partie pour la qualifiée d'amie. Grégory avait haussé les épaules et était partis vers ses amis. Les garçons se font plus facilement des amis que les filles. D'ailleurs a mon anciennes école j'avais toujours été avec des garçon. Caroline ne compte pas, c'était pas cousine.

- Pourquoi tu t'énerves?
- Parce que vous bitcher sur mon accent, et crois tu que j'en ai pâs, c'est toi qu'en a un de toute façon.

Et bizarrement, notre conversation avait repris son cours. Nous avons passé le reste de la journée ensemble. Et, comme nous étions a coté en classe nous savions que le jour suivant allait etre le même. En mieux, puisque nous avions toute notre vie a nous raconter.

Modérateur

Racontes nous la naissance de ton fils Pablo. Avec une petite photo de toi et ton fils (photo récente ou pas)

Bon courage Smile

~ La femme comblée ~

Photo prise le 23 Mai 2015. Pablo avait 6 ans, c'était durant un week-end ou nous étions avec ma tante. Une des rares fois ou nous avions pu la voir durant la journée. Nous n'habitions plus avec elle a cette époque et j'avais rencontré Juliette depuis un petit moment, mais nous n'avions pas encore fait rencontrer les garçons.

Hopital de la timone, Marseille le 15/06/2009 :

C'était le matin, il était quoi... 6h et quelques... Ma tante n'était pas la alors j'avais du prendre un taxi pour me rendre a l’hôpital. Le gars qui conduisait était complètement flippé, je me souviens qu'il ne cessait de me répéter "N'accouchez pas dans mon taxi... On y est presque, retenez vous". Comme si j'allais pisser sur son siège en cuir. Sur le coup je n'avais pas rit, mais en y repensant a chaque fois ça me fait rire.

Il m'a déposé a l'entrée et est repartit sans demandé son reste. J'étais rentrée, pliée en deux pas une contraction. Et puis tout s'est déroulé assez vite en fait. On m'a installé dans une chambre apres avoir vérifié que non... Ce n'était pas le moment mais ça allait arriver. Oui... Mais quand?!

Du coup, je serrais les dents a chaque contraction, certaines fois c'était corect, d'autres... D'autre étaient plus difficiles a surmonter. Mais je savais que ça allait vite passer, seulement j'étais dans le flou pour l'heure exacte et ça me rendait folle.
A coté, une femme était en train d'accoucher, elle hurlait a la mort. Je me souviens d'une infirmière qui est entrée a ce moment la, une autre contraction.

" Vous inquiétez pas, ce n'est qu'une question de temps... Tout va bien se passer".
Cri de la femme en fond sonore.
"Ouais, bah pas pour tout le monde en tout cas" murmurais je en me crispant a nouveau.

L'infirmière a sourit puis est partie.

A 10h c'était le moment. Mon col était assez "dilaté" pour le médecin et je me dirigeais assez rapidement vers la salle de "torture", en tout cas je l'avais imaginée comme ça a cause des cris de l'autre femme.

"Et le papa?"
Je secouais la tête. Le papa? Il n'est même pas au courant que je suis enceinte, je suis ici et lui... Je ne sais pas. Je n'ai pas pu appelé ma tante parce que j'avais pas pris mon portable, parce que je ne me souvenais plus du numéro. Alors une infirmière est venue me prendre la main, m'a dit de respirer doucement en faisant le petit chien. C'est stupide, mais ça m'a permit de penser a autre chose.

Dire que ça a été du gâteau tout le long est un mensonge. Bon comparé a la femme d'avant oui, mais de façon général j'ai quand même eu mal. Mais la souffrance s'est complètement évanouie une fois que j'ai tenu mon fils dans mes bras.

"C'est un garçon" m'avait dit le médecin avec un sourire.
"Vous avez un prénom?" me demanda l’infirmière qui tenait déjà un stylo prête a noter.
"Pablo... Il s'appelle Pablo".
"C'est un très joli nom" dit elle en l'écrivant sur une étiquette qu'elle mis autour du poignet de mon fils. Oui, c'était un joli nom qui m'était venu en le voyant. J'avais eu quelques idées de prénoms mais bizarrement dans le lot beaucoup était d’origine hispanique... Sans doute parce que j'avais passé une bonne partie de ma vie en Amérique du sud...

~ British style ~

Racontes nous une histoire qui a marqué ta jeunesse Smile

~ La femme comblée ~

Avec Charlie, toujours Charlie... Parce que c'est une époque dont je me souviens le mieux. Enfin je me souviens aussi beaucoup des vacances en famille avec ma cousine Caro, mais rien n'a vraiment marqué a cette époque. C'est juste un souvenir nostalgique.

On était a une fête un peu pourrie avec Charlie, je crois qu'on devait avoir 17 ans, ou quelque chose comme ça. A l'époque on aimait bien etre un peu ivre, le genre on est pas majeure mais on boit quand même. J'étais pas une grosse acolo non plus, mais ça nous faisait marrer. Bref, on était vautrée sur le canapé du salon, pas mal de couple s'étaient formé ce soir la et nous, c'était pas trop notre trip en fait. Les gens avaient nos ages, et puis je dois avoué qu'en trainant souvent avec la bande de mon frère je trouvais les gens de mon age assez chiant, en dehors de Chachou.

Du coup, on s'est tiré de la fête pour se balader en ville. On était un peu ivre et on aurait pu se faire prendre par la police et avoir quelques soucis avec nos parents. Pas que mes parents soient sévères, mais je sais qu'avec l'alcool le père de Charlie n'est pas commode.
Par chance, on a rien eu ce soir la...

Du coup, on se baladait sur la place de notre ville, y'avait pas mal de monde le soir en fait, mais dans certains quartiers. Nous avons décider de nous rendre sur la place, celle en face de l'église ou y'avait une grande statue en bronze, ou je ne sais quel matière. A cette époque beaucoup de jeune aimait trainer sur cette place, et puis on s'asseyait sur le rebord de cette statue. Enfin, en bas, le dos collé a l'espèce de pylône en béton qui la surélevait.
Plusieurs fois on s'amusait a monter, et a taper la pose a coté de la statue qui brandissait un fusil. Mais on se faisait souvent chopper par la police, certaines fois elle était cool et nous demandait juste de descendre... D'autres fois ça pouvait finir au poste. Cela dit, j'avais toujours eut de la chance, parce que je l'avais fait une fois et la flic qui m'avait vue m'avait juste passer un savon et puis c'était tout.

Morte de rire, j'avais tenter d’escalader le pylône avec Charlie, a cette heure la police était surtout ailleurs. Et puis, j'étais montée sur le dos de la statue en hurlant "UH CHEVAL", ce genre de chose. Charlie était morte de rire, et, pour mettre un peu plus d'ambiance elle avait mit au bout du fusil une de ses chaussures. Nous nous étions alors amusée a habiller la statue de nos fringue. Enfin du tee shirt de Charlie et de mon pantalon. Vu qu'il avait une jambe levée, l'autre jambe de pantalon pendait et ça nous avait rendue hilare. Le tee shirt de Charlie par contre était mis de façon a ce qu'on le pensait etre une écharpe. Apres, nous étions descendues tant bien que mal, vu que nous riions toujours de l'avoir habillé et nous avons contemplé notre "œuvre".

En rentrant chez moi ce soir la, mes parents était déja couché, du coup, personne ne m'a rien demandé sur mes habits. Par contre, Charlie avait du expliqué une histoire abracadabrantesque sur un jus qui avait taché son tee shirt et au final elle l'avait oublié chez la personne.

Le seul souvenir que nous avions gardé était l'article paru quelques jours après.

"La statue de la place a été décorée". Ou un titre a peu près similaire. L'article parlait d'un affront a je ne sais quoi, ou simplement d'une mise en garde. Bref, soit disant avoir habillé la statue était quelque chose de négatif, alors qu'en fait c'était juste deux nanas un peu bourrée qui s'était plutôt bien amusée.

~ La prof passionnée ~

Racontes nous votre premier rendez vous amoureux avec Juliette.

~ La femme comblée ~

Souvenir bien plus récent... Quoi qu'il date depuis plus de 4 ans quand même!

Je me souviens de nos nombreux rendez vous d'avant, ceux ou l'on était juste amie... Celui la a marqué ma mémoire (et celle de Juliette, je l'espère). Je me souviens que j'étais très nerveuse parce que j'avais prévu pratiquement toute la soirée. J'étais devenue le "gentlemen" qui va chercher sa dulcinée chez elle et qui l'amène au resto. Du coup, j'avais essayer mille tenues avant d'y aller, j'avais pratiquement utilisé tout mon après midi a m'habiller et a me coiffer. (Et quand on a une chevelure comme la mienne croyez moi, une après midi est loin d’être suffisant!).

Une fois prête, non sans un avis de mon amie Samia (amie que j'ai pas revue depuis un bail d'ailleurs!), je suis partie chercher Juliette en bas de son appart. A l'époque il était hors de question que les garçons soit au courant. On voulait que les choses évoluent doucement, et on ne voulait pas les brusquer en leur disant que notre amitié s'était transformée soudainement en amour. Bref, je l'ai conduite jusqu’à un restaurant italien près du vieux port. Nous avons manger de très bonnes choses et nous avons beaucoup parlé de notre enfance, de notre vie... En fait, en dehors des chandelles on aurait pu croire a un diner entre amies... J'étais tellement bien avec elle, même si j'étais un peu mal a l'aise de sortir "officiellement" avec elle.

Je me sentais un peu gauche, du coup je n'osais rien faire de peur de la brusquer. C'est absolument ridicule hein? Au final, c'est elle qui m'a pris la main et on est restées comme ça, a sourire comme des ado en se tenant la main.

Apres, nous avions décider de faire une petite virée en bateau. Finalement d’être instit ça a de gros avantage, comme celui de connaitre un papa qui bosse a la capitainerie. Du coup, il m'avait prête un bateau ainsi qu'un chauffeur (parce que je n'avais pas le permis) et nous avons fini notre soirée sur le bateau a la belle étoile. Un vrai truc de film romantique, j'avoue. Mais j'ai adoré ce moment passé ensemble, loin de la tension qu'il y avait a ce moment la...

On s'était allongée sur les sièges derrière, avec une couverture sur nous, la tête levé vers les étoiles. Et, sous la couverture j'avais pris l'initiative de lui prendre la main. Elle s'était tourné vers moi en la sentant, et m'avait sourit. Je n'avais pu m’empêcher d’être plus entreprenante cette fois, vu que nous étions enfin seule, et je l'avais embrassée.

» Journal intime de Claire Delaître
» Vient voir Juliette mais tombe sur Claire ( PV : Claire )
» Caroline Delaître// Jeu de l'été
» Famille Delaitre Frémont Gauthier
» Une discussion très importante (Famille Delaitre-Frémont)

Claire Delaitre// Jeu de l'été

Claire Delaitre// Jeu de l'été

Sujets similaires

Sujets similaires